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L’homme pressé court – Poèmes TR 2017

L’homme pressé court… en verbe ou en adjectif… pour un thé au fil de l’eau

Ma fourberie n’existe plus…
Ma déception est dépassée…
Mon sentiment d’injustice évanouie…

 

Ne me reste plus que mon stress
Face à la réalité implacable
Et le malheur des autres.

Solitaire, planétaire, solidaire et brutal.

Qu’il me reste l’humour d’espoir durant le récital.

Qu’il m’en reste toujours un peu au final !

 

 

L’homme pressé long … en café ou en thé… au fil de l’eau… à en donner trop d’humour par amour!

Ma fourberie n’existe plus…
Ma déception est dépassée…
Mon sentiment d’injustice évanouie…

Solitaire et planétaire

Où veux tu que je regarde ?

Ne me reste plus que mon stress
Face à la réalité implacable
Et le malheur des autres.

Planétaire mais solidaire

Des visages des figures

Dans les airs sous terre,
Humour et espoir
S’écoulent en eau

Sur terre dans mon réseau,  l’homme pressé un jour en France
Oublie à l’arrière des taxis les écorchés, la chaleur et le fleuve.
Dans les airs, le vent nous portera à ton étoile comme elle vient.
Danse sur le feu Maria, mais où veux tu que je regarde des visages des figures ?
A vif, écorché de rage, que de leçons, que de révoltes, que de jeunesses…

Que tout s’écoule en eau de pleur dans mon réseau, la pluie

Que tout s’écroule en eau de pluie dans mon réseau, la peur.

Je crains la brulure, je crains la défaillance d’humour de vie.

Je crains la défaillance de mon sentiment d’injustice évanoui,

Que dire de mon indignation et de mon insoumission !

La pluie s’écoule avec humour et s’écroule avec la peur

Dans mon réseau !

 

Dans mon réseau, la pluie s’écoule avec amour !

Ma fourberie, ma déception, mon sentiment, mon humour, mon amour !

Si je dois tout perdre… Qu’il m’en reste …. 2 !

Humour seul solitaire…. à quoi cela sert-il d’être planétaire et solidaire ?

 

Dans mon réseau, la pluie en thé au fil de l’eau… se transforme à 2 !

 

Theophil RAYLAFORT

 

 

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