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Etape 1 : l’absence de statut légal du macro-déchet

Sans statut légal international, il faut se rapprocher d’une définition dans les accords de RAMOGE. Les macro-déchets «sont en général sortis des circuits traditionnels de gestion des déchets après avoir été abandonnés dans la nature, jetés en mer ou emportés par un coup de vent. » (cf. différents sites : actu.environnementfutura.planete…).

Il est possible de reprendre un extrait du CEDRE  : « Par l’effet d’un geste de négligence, d’un coup de vent, d’une crue ou d’un accident malencontreux, les déchets sortent de leur cycle de traitement normal. Même frappés du logo « Point Vert », les emballages qui se déposent sur les plages ne sont plus recyclables par le système en place. Qu’ils soient ménagers, industriels ou verts, les déchets qui arrivent sur les plages sont devenus orphelins et ne relèvent plus des procédures de traitement que la loi impose à leurs producteurs. Ce sont des produits hors la loi, échappant aux contrôles et aux systèmes en place. »

Le macro-déchet est-il moins polluant que le micro déchet polluant ? Non, c’est une question de temps.

Le vert est-il bio ? Non, c’est une question de nature.

 

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